Les papes qui avaient précédé Pie V avaient eu des mœurs relâchées, et Prescott voit dans la dureté de Pie V la réaction nécessaire qui entre dans le jeu éternel des choses d’ici-bas. […] lui, Prescott, le protestant de vue et le nihiliste religieux d’opinion, convient, avec une bonne foi impartiale des plus élevées, que le Concile de Trente a beaucoup influé sur la moralité du clergé catholique, et que ce fut la vraie, la seule nécessaire Réformation… Ici, je défie de dire mieux.