Ceux qui font la musique ou les paroles des opéra devroient, par cette seule considération, être toujours unis*. […] On a mis depuis, par dérision, un privilège du roi en musique.
Ceux qui font la musique ou les paroles des opéra devroient, par cette seule considération, être toujours unis*. […] On a mis depuis, par dérision, un privilège du roi en musique.