Enfin, tout doucement, il écarta les rideaux de son lit, pendant que la musique allait toujours, plus grave et plus touchante, et il vit les trois bohémiens sur le seuil de la chambre, et la vieille Katel derrière, sous la porte. […] Et la musique ! […] monsieur Kobus, au contraire, ça me rendait toute triste ; la belle musique me rend toujours triste. Je ne savais pas qui faisait cette belle musique. […] quelle belle musique vous faites !