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266. (1913) Poètes et critiques

Il s’assied au piano ; il joue du Schumann et conclut : « Voilà de la musique : cela vaut mieux que vos Wagner !  […] Il était comme le saint charmant d’Assise, lui aussi, le Poverello — oui, le Poverello de la musique. […] Il descendait sur cette pente-là, quand la rencontre de Mathilde Mautté, la demi-sœur de son ami, le compositeur de musique Charles de Sivry, changea, pour quelque temps, l’allure et le sens de sa vie. […] Je me suis donné le plaisir de relever, dans l’œuvre de Shakespeare, tous les passages où la musique intervient, où elle est exaltée. […] Musique et poésie, vous n’avez qu’un seul dieu : « one god is god of hoth ».

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