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138. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre III. Grands poètes : Verlaine et Mallarmé, Heredia et Leconte de Lisle » pp. 27-48

Cette liberté acquise du vers, il l’envisage comme bonne aux instrumentistes de fantaisie, pour la musique de qui il est inutile de déranger les « grandes orgues générales et séculaires, où s’exalte l’orthodoxie ». […] Mallarmé que la musique et les lettres s’adressent semblablement à l’audition. […] Voilà la trame essentielle de l’œuvre littéraire, sans analogue exact en musique. […] Vous, vous excellerez à des décorations légendaires ; vous à des drames ; vous à suivre des musiques trop explicites de vers plus lointainement émouvants vous… vous… Mais s’il s’en trouvait un, parmi, sur qui la Grâce du Rêve descende, mon fils, mon hoir, il n’écrira pas ses poèmes.

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