Nous voguions le soir hors du port, nous allions rentrer : une musique sortit, elle était suivie d’une quarantaine de petites embarcations qu’elle enchaînait à sa suite et qui la suivaient en silence et en cadence. […] Cette musique ainsi encadrée et bercée par les flots nous allait au cœur : « Oh ! […] rien. »— -Et, semblables à ces échos de nos cœurs, les sons déjà lointains de la musique mouraient sur les flots.