Il est bien difficile de juger d’une manière exacte du degré d’intelligence d’une personne qui a perdu le moyen de s’exprimer. […] Je m’étonne que les médecins n’aient pas vérifié ce fait d’une manière plus précise, en demandant aux malades qui ont conservé, par exemple, la faculté de l’écriture, s’ils ont conscience de penser par le moyen des mots, et si l’impuissance de trouver ces mois est intérieure aussi bien qu’extérieure.