Appliquée à un autre thème, le thème satirique et badin qui s’était à Arras même cristallisé dans le Congé, remplie au moyen d’un mélange singulièrement hardi de toute sorte d’éléments narratifs, lyriques, littéraires et populaires, elle a donné le Jeu de la Feuillée. […] À consulter : Petit de Julleville, les Comédiens au moyen âge, Paris, in-12, 1335 ; la Comédie et les mœurs en France au moyen tige, Paris, in-12. 1886 ; Répertoire comique eu France au moyen âge, Paris, in-8, 1886.