Le fait est que, dans tous les mouvements de Yégor, il y avait une sorte de gravité modeste qui n’avait rien de rêveur, la gravité d’un grand cerf des bois. […] Et les aiguilles accélérèrent leur mouvement. […] Son visage, sa voix, ses mouvements rapides et anguleux rappelaient son aïeule, la Bohémienne. […] Il se mit, d’un mouvement machinal, à en déchirer les enveloppes, et à parcourir négligemment les colonnes, qui ne renfermaient, du reste, rien de nouveau. […] Elle priait avec ferveur ; ses regards étaient pleins d’un doux éclat ; sa jolie tête s’inclinait et se relevait par un mouvement souple et lent.