Quels mouvements de foi et d’amour vers le Dieu qu’ils lui avaient enseigné ! […] Il la tue par un mouvement irréfléchi et tout animal. […] Gerfaut raconte à son ami Mertens les événements de la nuit, et le mouvement de Suzanne, et comme cela l’a « empoigné », et comme ce mouvement était « curieux », et comme c’était « fait ». […] Et je ne me crois pas non plus assez « trempé » pour tuer par un mouvement d’amour ou par un mouvement de haine. […] Car, outre la clarté parfaite, il a le mouvement, il a la vie.