« Un mouvement lent pendant un temps long est la même chose qu’un mouvement plus rapide pendant un temps moins long ; nous nous en convainquons aisément en remarquant qu’ils produisent tous les deux le même effet, puisqu’ils épuisent tous les deux toute l’amplitude de parcours dont le membre est capable. […] La bille en mouvement déplace une autre bille. […] Il se représentait les lignes, les surfaces et les solides par des groupes de plus en plus complexes dont ses sensations de locomotion, de contact et de résistance étaient les éléments ; il définit maintenant la ligne par le mouvement d’un point, la surface par le mouvement d’une ligne, le solide par le mouvement d’une surface. […] De cette façon, tous les événements de la nature physique sont des mouvements, chacun d’eux étant défini par la masse et la vitesse du corps en mouvement, et chacun d’eux étant une quantité qui passe de corps en corps sans jamais croître ni décroître. […] Pareillement, cette pierre est d’abord la possibilité permanente des sensations visuelles, tactiles, etc., que j’éprouve à son endroit, et, en outre, elle est un groupe distinct de tendances au mouvement et de mouvements distincts en train de s’accomplir.