Lors du grand mouvement de la Renaissance, les écrivains travaillèrent ainsi à faire avancer l’école qui demeurait attardée et embourbée. […] Le mouvement commencé ne s’arrête point. […] Dès lors l’Académie dut renoncer à la chimère d’arrêter le mouvement ; elle se contenta d’en diminuer la vitesse. […] C’est d’apporter dans la littérature le mouvement qui est la vie. […] Mais le mouvement s’arrêterait sans ces démolitions et reconstructions partielles que les différentes générations opèrent à mesure de leur entrée dans le monde.