Tout mouvement littéraire a son développement plus ou moins long ; après quoi il s’épuise, languit et tourne sur lui-même, jusqu’à ce qu’une autre impulsion reprenne et mène au delà. « Percez-nous-en d’un autre, » disait Mme Desloges à Voiture, à propos d’un calembour qui n’allait plus : de même en haute poésie.