Ce qui manque le plus à cette Épître, c’est le mouvement et la variété, ce sont les contrastes ; puisque le poète introduit ce Brutus qui ne s’en doute pas, il pouvait lui prêter des idées, des images et des tableaux frappants qui eussent tranché avec les idées morales et élevées du prisonnier. […] Daru, dans les Odes, ne rend pas assez le mouvement lyrique ; il n’entre pas dans le svelte et le découpé des rythmes.