Rapport nécessaire de la sensation au mouvement. […] Quand ce mouvement aura parcouru une ligne une première fois, il y aura plus de facilité selon cette ligne pour une seconde transmission du mouvement. […] Oui, le mouvement est partout, et rien ne devient sans le mouvement. […] Ce mouvement, une fois produit, ne peut disparaître. […] En effet, le mouvement ne se transforme pas en autre chose, mais un mode de mouvement se transforme en un autre : le mouvement moléculaire, par exemple, devient soit mouvement de translation, soit mouvement de désagrégation, et la somme des trois sortes de mouvements est constante.