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897. (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1891 » pp. 197-291

Je l’ai retiré pour qu’il mourût en paix dans un bain de pied. […] Une femme me disait ce soir, qu’elle croyait qu’un grand chagrin pouvait mourir dans la paix, le calme, l’isolement de la campagne, mais qu’à Paris, l’enfièvrement de la vie ambiante autour de ce chagrin, ne pouvait que l’exaspérer. […] Lors d’un mariage d’une de ses belles-filles, elle demande à une autre belle-fille de lui prêter un manteau, avouant, que si près de mourir, elle regardait à cette dépense. […] La vieille femme meurt. […] Le vieux bonhomme meurt ces temps-ci.

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