Sur un brouillard du soir, sur un violoniste qui passe, sur une danseuse qui s’en va, sur une bouquetière qui meurt, il a écrit des pages délicieuses qui méritent d’être conservées. […] Là, détenue comme en prison au couvent des Religieuses hospitalières, elle n’en sortit plus, et mourut seulement en 1703 ou 1704. […] Elle n’aurait pas été languir et mourir dix-huit ans dans l’exil, comme tant de souverains dépossédés, elle qui avait passé ses belles années à se créer une petite principauté et un petit trône.