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628. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

Je meurs, et sur ma tombe où lentement j’arrive,         Nul ne viendra verser des pleurs. […] Il faut ou partir et vivre, ou rester et mourir. […] Ossian a peint avec des couleurs différentes, mais qui ont aussi beaucoup de charmes, une jeune femme morte loin de son pays, dans une terre étrangère. […] Un reste de clarté perce encor le feuillage, Glisse sur l’eau du fleuve et meurt sur le rivage. L’insecte qu’un soleil voit naître et voit périr, Aux derniers feux du jour vient briller et mourir.

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