Encore a-t-on mis cent ans à s’apercevoir qu’elle était morte. […] La vieille Juana est en train de mourir. […] Le mari tue l’amoureux ; la jeune femme meurt, et il lui demande pardon. […] Elle va mourir, non de sa blessure qui est légère, mais peut-être de ses couches, et surtout parce qu’elle est une petite créature qui doit mourir très jeune. […] non, tu t’en ferais mourir !