Gustave Planche va bientôt mourir. […] Tout vieillit, tout meurt, les jeunes enterrent les vieux, c’est une loi immuable. […] Et il termine en disant : « Ma conscience est sereine, car j’aperçois toujours… l’œil de ma mère morte ! […] Aujourd’hui la bête est morte et elle va être empaillée par les naturalistes pour figurer dans les collections ! […] Un 1789 artistique, une démocratisation que vous pleureriez et qui vous ferait mourir de chagrin !