Jusqu’aux cultes de désistement quand dévie et meurt l’inspiration, qui ne divinisent pas seulement à la seule taille humaine mais avouent et adorent pour éternellement Inconnus, au lieu d’en tenter la possession, les Principes et les Modes… Durant quels temps poétiques, vraiment, allèrent leur devoir qui nous a engendrés, les esprits pourtant providentiels des Poètes. Devoir le seul à des époques où l’animalité sensitive et sentimentale s’émerveilla d’exprimer son âme mélodique, où sur les sommets païens les divinités s’entendaient des passions et des émotions humaines les plastiques et lumineuses Apparences, — tandis que la noire et violâtre volupté de la douleur s’était étendue sous l’envergure morte de l’Homme-dieu en la vallée des larmes, — quand l’Amour qu’il apportait, lui-même entraînait le poids de la douleur et du renoncement. […] qui sait si le démon qui ne peut pas mourir, de Races qui ont été et qui redeviendront !