Or, à cette époque, Henriette d’Angleterre est en grand deuil de sa mère, morte le 10 septembre 1669. […] Votre père a fait mourir le mien. […] C’est à partir de ce moment qu’il commença à prendre l’habitude de mourir de faim, presque littéralement. […] Elle mourut en 1854. […] Si je joue ce rôle, j’en mourrai peut-être ; mais si je ne le joue pas, j’en mourrai à coup sûr. » Il en mourut, en effet, ou à peu près ; car moins de deux ans après cette dernière campagne il avait cessé de respirer, ce que, depuis plusieurs années déjà, il ne faisait qu’avec une difficulté extrême.