On a dit que les racines sont le cœur de l’arbre, car, si elles meurent, l’arbre meurt aussitôt. […] Il préférerait mourir que de boire dans un verre souillé par les lèvres d’un « mleccha ». […] Cela favorise grandement la navigation ; plus de crainte de mourir de soif en contemplant l’immensité liquide ! […] Un univers meurt quand nous mourons ; un autre naît quand vient au monde un être nouveau, avec une sensibilité nouvelle. […] Il n’est point possible que l’homme meure tout entier.