Le travail sur les mots est stérile ; la pensée seule est créatrice. […] parce qu’elle ne s’occupait plus que des mots. […] Deux mots entrèrent alors dans notre langue, et tout le monde les comprenait, quoiqu’ils ne portassent pas bien nettement leur sens avec eux : le mot « classique » et le mot « romantique ». […] — Même en 1820, le mot n’était peut-être pas absolument juste. […] Le mot a fait son entrée ; ridicule triomphe !