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539. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome II pp. 5-461

Celui-ci ne saurait être mieux désigné que par le mot d’Auguste, sur le poète Térence, qu’il appelait un demi-Ménandre. […] que ce fut un homme sensible, courageux, probe, juste et pénétrant, en un mot, un vrai philosophe. […] Me voici déjà dans l’embarras de vous la nommer ; car les mots propres dont usait la bonhomie de nos aïeux sont devenus pour nous de si gros mots qu’ils nous écorchent les oreilles. […] Ces derniers mots sont le complément du comique. […] Heureux qui sait esquiver le mot et la chose, le plus vite et le mieux possible !

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