Tout ceci se résume en quatre mots : l’Etat contre la nation. […] Une aberration vigoureuse trouve toujours, pour s’exprimer, un torrent de mots. […] On sait avec quelle fréquence certains termes ou mots reviennent au cours d’un tel ouvrage. […] Où il faut, à d’autres, une pièce entière pour émouvoir, il faut à Villon un ou deux mots. […] Avec ces trois petits mots, le philosophe de la Cossandrie eût anéanti tous les discours de Jaurès et de ses émules.