L’aventurière elle-même est prise de doute et de découragement… Et, enfin, tous deux se noient au même endroit de la rivière où leur victime a cherché la mort. […] Un soir qu’il ne peut plus avancer, les serre-file le fusillent sous un pin, dans la neige, et l’homme reçoit la mort avec indifférence, comme un chien malade ; disons le mot, comme une brute. […] la chanson grivoise de l’aveugle qui couvre les prières des morts ! […] Maupassant lui-même s’attendrissait visiblement et devenait plus « grave », quand la mort vint le prendre. […] Quant à l’idée de la mort, je ne pense pas que jamais écrivain en ait été plus intimement pénétré que Pierre Loti.