Balzac, [Jean-Louis Guez, Seigneur de] de l’Académie Françoise, né à Angoulême en 1594, mort en 1654, a rendu à l’Eloquence Françoise le même service que Malherbe venoit de rendre à la Poésie. […] Les sujets proposés de son vivant, & long-temps après sa mort, tendoient à l’honneur de la Religion, autant qu’aux progrès des talens : il avoit même exigé que les Discours feroient terminés par une priere.