Un écrivain peut avoir été célèbre de son vivant, pour une raison, et le rester après sa mort pour une autre. […] Sainte-Beuve, dans le bel article des « Lundis » qu’il consacrait à Balzac au lendemain de sa mort, n’y fait même pas allusion. […] Il me parla de la mort longuement. […] Celui-ci meurt en 1662, l’autre était mort en 1642. […] Nous verrons ensuite les germes de mort qu’elle portait en elle.