— Séparez-les… La pauvre République est un corps mort ! […] Je ne vis en vérité que ces deux yeux, qui étaient tout dans cette pauvre femme, car le reste était mort. […] Nous nous arrêtâmes au pied d’un arbre mort, le seul arbre du chemin. […] Il la soigna malade jusqu’à la veille de sa propre mort. […] J’appris qu’il était mieux, et peu de jours après je lus la nouvelle de sa belle et douce mort dans les journaux.