Elle corrigea non seulement la capitale et Molière lui-même, mais aussi la cour et le monarque que Sa jeunesse n’avait pas enlevé pour toujours aux lois de la bienséance et de la morale. […] Jusque-là, les choses obscènes n’avaient été réprouvées que par la morale religieuse, qui les avait qualifiées d’impudiques.