On a là toute sa vie morale et intérieure développée jour par jour dans un tableau sincère et involontaire. […] Il y a dans Léopold Robert et dans sa théorie de la peinture, à mesure qu’il avance, quelque chose de Vauvenargues et de cette élévation morale que celui-ci réclamait dans toute expression éloquente. […] Il croit que la morale dans la vie est bonne pour l’artiste. […] Cette théorie d’intention morale qu’il a si à cœur laisse subsister chez lui tout le souci de détail pour l’exécution, pour le style.