Le soupir, autre symptôme respiratoire, est, comme l’ont fait remarquer plusieurs auteurs, commun à l’attention, à la douleur physique et morale : il a pour fin d’oxygéner le sang narcotisé par l’arrêt volontaire ou involontaire de la respiration.
Le soupir, autre symptôme respiratoire, est, comme l’ont fait remarquer plusieurs auteurs, commun à l’attention, à la douleur physique et morale : il a pour fin d’oxygéner le sang narcotisé par l’arrêt volontaire ou involontaire de la respiration.