Ducis qui, en ces années de crise, s’est fait son conseiller, son directeur ami, et qui est plus fait que personne pour comprendre cette espèce d’inquiétude indéfinissable, lui prescrit les remèdes qu’il estime les plus salutaires pour le corps et pour l’âme : nous assistons à toute une cure morale : « Versailles, 25 juillet 1775 « Votre tristesse opiniâtre m’afflige, mon ami. […] Je serai le barbare qui vous ferai vivre malgré vous. » Après un de ces petits voyages où il l’avait eu près de lui, il écrit à Mme Deleyre pour lui rendre compte de la santé morale qui les intéresse.