Depuis la Restauration et au moment où elle a croulé, ces idées morales et politiques se sont, chez la plupart, subitement abattues ; le drapeau a cessé de flotter sur toute une cargaison d’ouvrages qu’il honorait et dont il couvrait, comme on dit, la marchandise. […] La situation des journaux a notablement empiré depuis l’introduction de la presse dite à quarante francs : je ne m’attache à juger que du contre-coup moral. […] Il est très-fâcheux qu’à l’origine de cette espèce d’invasion de la presse dite à quarante francs, les conséquences morales et littéraires n’en aient pas été présentées avec vigueur et netteté par quelqu’une des plumes alors en crédit. […] Premier résultat moral pourtant.