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1025. (1864) Corneille, Shakespeare et Goethe : étude sur l’influence anglo-germanique en France au XIXe siècle pp. -311

Ici c’est le physique qui est libre, tandis que le moral ne l’est pas, là c’est précisément le contraire. […] Elle posait en principe la perfectibilité humaine, c’est-à-dire ce qu’aujourd’hui nous appellerions le progrès moral. […] Son livre fut couronné par l’Académie des sciences morales et politiques. […] Tout était organisé contre cette résurrection du sentiment moral et poétique ; c’était une ligue universelle des études mathématiques contre la pensée et la poésie. […] C’était un jeune homme d’une laideur repoussante, louche, boiteux, et aussi peu recommandable au moral qu’au physique.

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