Négligeons ses œuvres de jeunesse qui semblent plutôt celles de la sénilité et dans lesquelles il se montre si inférieur. […] Soit qu’il nous montre Mme Bovary rêvant de poétiques amours et tombant dans de prosaïques hontes, soit qu’il nous peigne Salammbô expirant dans l’horreur de son barbare triomphe, ou Bouvard et Pécuchet étudiant les sciences et dévorant les livres pour rester aussi sots qu’ils l’étaient avant, Flaubert n’a pas un coin où se puissent loger les illusions consolantes.