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826. (1897) La crise littéraire et le naturisme (article de La Plume) pp. 206-208

Promulguons la joie de vivre, admirons les différents labeurs de l’homme par quoi se transforme le monde. […] Il faudrait marcher là, comme au lieu le plus suave, le plus religieux, le plus impressionnant du monde. […] Pas un instant moins tragique, le matin se couche sur un monde d’aurore. […] S’il y a dans le style de nos modernes d’évidentes fautes de goût, cela tient surtout à leur mauvaise manière d’envisager le monde, et fort peu au mépris qu’ils ont eu pour les préceptes de Boileau-Despréaux.

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