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747. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

À l’entrée d’un jardin, où se pressait beaucoup de monde, j’ai perdu Gavarni. […] Voilà le dessous de toutes les belles choses du monde. […] Elle regarde le monde d’un air intimidé, jetant dans l’oreille de Flaubert : « Il n’y a que vous ici qui ne me gêniez pas !  […] le monde, le grand monde renferme de singuliers particuliers !  […] Les artistes aiment ces joies qui les frottent à un semblant de monde.

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