Pour tout dire, en un mot, c’est d’après ce monde et pour ce monde que Machiavel écrivit son Prince. […] Des deux parts, les deux mondes se touchent et se confondent. […] Il me sembla qu’ils se liguaient tous ensemble pour me bannir du monde. […] Par degrés le puritanisme allait se rapprocher du monde, et le monde se rapprocher du puritanisme. […] Celui que tout le monde a flatté, toi seule tu l’as jeté hors du monde et méprisé.