Il était lui-même le premier à sentir qu’il se livrait trop au plaisir de voir et d’apprendre indéfiniment, qu’il embrassait trop à la fois dans ses courses buissonnières à travers le monde, et il s’en confessait de bonne grâce, sauf à récidiver le lendemain. […] De même, sans Voltaire, je vois toutes les idées libérales entrer dans le monde par tous les pores. […] Tel était cet aimable et savant homme dont la figure, peu connue dans le monde, est et restera présente et chère à tous ?