Je me trouvais seul et un peu embarrassé de ma personne, ne sachant pas qui nous recevait en ce moment. […] Voilà le grand moment. […] À partir de ce moment ils furent entraînés dans une série de fêtes qui finirent par les lasser. […] À ce moment, elles se retirent, la laissant seule. […] En ce moment, il se fait un bruit terrible autour de moi, je crie : “Vive la République !”