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2900. (1932) Le clavecin de Diderot

Ce qu’on offre, en fait d’idées générales, n’est donc le plus souvent que la dictature d’un détail, au gré de tel bon vouloir, à tel moment donné. […] Mais combien se réjouissent d’être cercueil à soi-même, de perpétuer dans la paralysie et le silence, ce moment de délire, où selon Diderot, le clavecin sensible a pensé qu’il était le seul clavecin qu’il y eût au monde et que toute l’harmonie12 de l’univers se passait en lui.

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