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1500. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « M. de Féletz, et de la critique littéraire sous l’Empire. » pp. 371-391

Parler un moment d’eux tous, c’est encore lui rendre hommage à lui-même. […] À ces époques qui suivent un grand danger et où l’on vient d’échapper à de grands malheurs, on sent très distinctement le bien et le mal en toutes choses ; on est disposé à exclure, à interdire ce qui a nui, et c’est le moment où le critique trouve le plus d’appui et de collaboration dans le public. […] Cet homme de collège et de théâtre, ce vieux professeur qui avait près de soixante ans quand le xviiie  siècle expira, n’avait, à aucun moment, été ébloui par les lumières de ce siècle brillant.

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