Le dix-huitième siècle avait inauguré le culte de la raison : on vécut un moment dans l’ivresse de ce millénium. […] Par moments, ces plantes s’attendrissent, ces arbres se penchent sur les jeunes héros frappés de mort. […] Ces tentatives n’eurent qu’un moment de faveur ; la poésie lyrique les fit oublier et prit toute la place au soleil. […] Que veut cette âme dans ce moment ? […] C’est le moment de sa plus grande activité littéraire.