Toutes les mœurs, en bas comme en haut, sont féroces. […] Juvénal, tout-puissant poëte, se disperse, s’éparpille, s’étale, tombe et rebondit, frappe à droite, à gauche, cent coups à la fois, sur les lois, sur les mœurs, sur les mauvais magistrats, sur les méchants vers, sur les libertins et les oisifs, sur César, sur le peuple, partout ; il est prodigue comme la grêle ; il est épars comme le fouet. […] Lois, mœurs et croyances sont fumier. […] Le lointain des mœurs, des croyances, des idées, des actions, des personnages, est extraordinaire.