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870. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Il avait les mœurs libres et relâchées d’un homme de théâtre. […] C’est une étude de mœurs provinciales, À peine y avait-il quelques traits rapides de mœurs de la province dans Monsieur de Pourceaugnac. La Comtesse d’Escarbagnas est tout entière en mœurs provinciales. […] A-t-il été le législateur des mœurs ? […] Voilà tout ce qu’il a fait pour les bonnes mœurs.

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