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436. (1883) Essais sur la littérature anglaise pp. 1-364

Pour tout le reste, mœurs et institutions, ils ne firent que modifier la forme sans altérer en rien la substance première. […] L’Anglais se conforme aux mœurs générales et ne s’en sépare que sur un point presque imperceptible. […] De nouvelles mœurs, qu’on pourrait appeler les mœurs monarchiques, commençaient à s’établir par toute l’Europe, mais les anciennes mœurs féodales et chevaleresques n’étaient pas encore oubliées, et on les voyait subitement reparaître ; à la manière des spectres et des revenants. […] Tout a changé subitement : mœurs, langage, caractères et passions. […] quelles étaient ses mœurs et ses préoccupations favorites ?

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