Pouvois-je avoir un ennemi plus méprisable, soit pour sa naissance, soit pour ses mœurs, soit pour sa capacité ? […] Costar, il ne faut que l’ouir ; il ne faut qu’ouvrir un de ses livres, & l’on verra partout une vive image de ses mœurs.
Pouvois-je avoir un ennemi plus méprisable, soit pour sa naissance, soit pour ses mœurs, soit pour sa capacité ? […] Costar, il ne faut que l’ouir ; il ne faut qu’ouvrir un de ses livres, & l’on verra partout une vive image de ses mœurs.