peut-être trop sceptique et trop moderne pour bien écrire l’Histoire, cette suite, non de partis pris, mais de partis à prendre ; car à quoi bon écrire pour l’instruction des autres, si vous augmentez en eux les anxiétés de l’ignorance et les embarras du savoir ? […] … Puisqu’il est sceptique et moderne, je ne reproche à Eyma que comme aux hommes de ce temps, et qui n’en dépassent pas la hauteur, toutes les pusillanimités de son histoire.